mercredi 13 avril 2011

Pendant que Mallah parle de laïcité, dans le secret il favorise son éthnie.... Juive !

l'Élysée a demandé à ce que des épreuves parallèles aux concours de certaines grandes écoles soient organisées à destination de candidats juifs pratiquants. En effet, les dates du concours commun Mines-Ponts, mais aussi de ceux de certaines écoles de commerce ou encore de l'ENS Cachan, se déroulent au moment de la Pâque juive, la semaine prochaine. L'organisation proposée par le Château est particulièrement abracadabrantesque : les candidats concernés devant rester confinés toute la journée du 20 avril au moment officiel de l'épreuve jusque dans la nuit où ils pourraient à leur tour composer. Rebelote le 26 avril. Le scénario est tordu. La publicité de ce concours réservé aux juifs pratiquants étant inenvisageable, on se demande bien comment les personnes intéressées auraient pu être averties, sauf par les autorités religieuses.

La semaine dernière, une source dans le milieu des grandes écoles avait alerté Le Point.fr de pressions qu'elle subissait pour organiser une telle session d'épreuves. Contrairement à ce qu'affirme Mediapart, la demande émanait bien de la communauté juive. Le rabbin Haïm Korsia, aumônier général de l'armée de l'air et proche de Nicolas Sarkozy, a utilisé son entregent pour faire avancer sa cause.



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samedi 9 avril 2011

La mairesse de paris engraisse grassement son éthnie !


Ces établissements, gérés par le mouvement orthodoxe juif loubavitch, regroupent un millier de berceaux (sur les 30 000 recensés à Paris). L’aide financière que la mairie leur verse est très contestée au sein même de la majorité municipale. « Ces établissements ne respectent pas, dans la plupart des cas, les principes laïcs et républicains, rappelle Eddie Aït, président du groupe PRGà la région. On y trouve des signes religieux ostentatoires. Il y a une discrimination directe ou indirecte dans l’accueil des enfants en fonction de leur confession ; l’ouverture continue du lundi au vendredi soir n’est pas respectée… », détaille l’élu, en espérant que le vote de la région incitera Paris à supprimer ces subventions. « On nous fait un mauvais procès, essentiellement pour des questions idéologiques, rétorque Haïm Nisembaum, porte-parole du Beth loubavitch de France (qui gère 2 des 14 crèches concernées). Il n’y a pas d’enseignement religieux dans ces établissements. Ce sont des crèches, pas des écoles. La seule spécificité de nos établissements, c’est l’alimentation (NDLR : casher), mais il n’y a aucune opposition de principe à l’accueil d’enfants non juifs », conclut-il. Suite... Tous droits réservés